Architecture, l'esprit du lieu

Nouveau nom, nouvelles collections mais toujours à vos côtés !

Par Nat Lecuppre, le 8 janvier 2025.
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Collection Pattern Tailored ref 911-468-969

Vous connaissiez IVC Commercial Moquette, et vous vous appuyiez sur ses produits pour le rendu de vos projets. Désormais, sous le nom de Mohawk Group by Unilin, vous trouverez Mohawk Group pour la moquette, IVC pour les rouleaux PVC et MODULEO pour la LVT.

Des valeurs sous un même nom.

Les valeurs de Mohawk Group by Unilin sont l’esprit entrepreneur, la passion, le respect et l’excellence. Mohawk Group met en amont les solutions pour répondre à toutes vos attentes.

Philosophie de Mohawk Group.

L’humain est toujours au cœur de tout ce que qu’il fait, ceci est son objectif principal. Il va au-delà de la durabilité car cela contribue de manière inhérente au bien-être de l’utilisateur. Comme la qualité de vie de l’utilisateur est sa préoccupation, il va de soi qu’il accorde également la plus grande attention à la qualité des projets. L’impact sur l’environnement reste bien sûr un des critères importants dans la conception des produits. Le design, le confort et la durabilité sont des inconditionnels chez Mohawk Group.

Les collections sont multiples et vous permettent de concevoir des projets dans tous les secteurs de l’architecture : bureaux, résidences, hôtels, boutiques… Elles sont classées en trois catégories afin de répondre à toutes les attentes budgétaires.

Des produits pour tous.

On trouve des collections dans les trois catégories : les concepts Signature, la gamme Mix & Match et les Essentiels. Toutes ont la particularité d’être design et peuvent, selon certaines conditions, être conçues sur mesure. Huit collections comprenant au total 23 produits sont proposées. Les dalles sont de dimensions 50 x 50 cm et les lames de 25 x 100 cm.

Des collections pour concevoir tous les projets Pattern

Avec les dalles de moquette structurées, fabriquées avec de la fibre carbone négative, vous pouvez former un espace de travail fondé sur le bien-être au quotidien, l’équilibre et la liberté à travers une gamme de 16 couleurs présentant des tons hautement fonctionnels et des teintes subtiles et pastel.

Imperfection

Cette collection recherche la beauté dans l’imparfait et vous permet de donner une âme à un espace. Les modèles Grit, Bruut et Rupture sont déclinés dans des teintes naturelles et des textures organiques. Fabriquées à partir de matériaux durables, les dalles présentent des performances acoustiques élevées qui assurent un confort et un bien-être inégalables.

Immersion

L’immersion, en revanche, est inspiré du monde virtuel, un monde sans limites, où la liberté de création est absolue, où le numérique se mêle harmonieusement au réel. L’effet 3D des textures donne une impression de mouvement permanent qui confère à l’ensemble une dynamique surprenante. Un intérieur stimulant qui aiguise les sens autant qu’il favorise la productivité.

Notre Mix & Match.

La catégorie Mix & Match vous permet de créer un mélange parfait de liberté, de design et d’accessibilité, offrant l’opportunité de jouer avec les nuances, les textures et les dimensions pour personnaliser votre espace de travail. La collection Art Intervention est composée de la même banque de fil et des mêmes couleurs que les collections Contour, Rudiments et Light Art. Vous pouvez ainsi réaliser un look unique et des possibilités de design infinies en combinant les designs et les couleurs qui s’assortissent. Fabriqué à partir de nylon teint dans la masse. Les dalles sont résistantes à la lumière et aux taches.

Art Intervention.

Le design et la couleur se conjuguent et deviennent sources d’inspiration pour des intérieurs chaleureux. La collection offre une infinité de possibilités à travers sa palette de couleurs, élaborée à partir de nylon teint dans la masse et déclinée en trois motifs, à associer ou à utiliser séparément.

Rudiments.

Les dalles aux imprimés aléatoires sont inspirées de matières authentiques utilisées pour les sols. Rudiments se compose de 6 gammes : 3 collections en dalles et 3 collections en lames. Notamment, la collection en lames vous permet de créer des transitions infinies en couleurs.

Contour.

Les principes de la géométrie architecturale sont appliqués au design des dalles de moquette. La collection de dalles de moquette Contour apporte aux espaces intérieurs une dimension architecturale supplémentaire.

Light Art.

La collection sublime la lumière naturelle et les textures tissées pures. À la lumière du jour, elle évolue et devient actrice. Deux motifs à mélanger et à assortir créent une collection de dalles de moquette d’entrée de gamme qui élèvent les espaces au-delà de l’ordinaire grâce à une texture de sol élégante et naturelle

Nos Essentiels.

Chez Mohawk Group, le style doit être accessible à tous. Ainsi cette catégorie de collections de dalles de moquette élégantes et abordables sont conçues pour donner de l’élégance et du caractère à votre espace sans faire de compromis sur la qualité. L’engagement de Mohawk Group va au-delà de l’accessibilité et ce dernier vous fourni des options qui transforment les intérieurs en environnements accueillants et inspirants. Découvrez à ce propos Art Intervention et Light Art.

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    Mohawk Group by Unilin

    Industriëlaan 97a

    7700 Mouscron

    Belgique

    Tél. : +32 056 59 03 11

    www.mohawkgroup.eu

    Contact France

    Country Manager France

    Carole Debenest

    Tél. : + 33 (0)6 76 65 98 52

    carole.debenest@unilin.com

    Retrouvez cet article dans le nda numéro 58
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    Architecture remarquable

    Prendre langue avec la France

    Par Lionel Blaisse, le 13 décembre 2024
    Unique grand projet présidentiel d’Emmanuel Macron, la Cité internationale de la langue française investit, en toute logique, le château de Villers-Cotterêts. Dans ce joyau de la dynastie des Valois, François Ier signa l’ordonnance imposant le français dans la rédaction de tous les actes administratifs et judiciaires du royaume. Les acteurs du projet — conservateurs, comité scientifique, centre des Monuments historiques, architectes, concepteurs lumières et multimédias —ressuscitent cette demeure royale de la Renaissance à la beauté architecturale malmenée par le temps. Ils y démontrent aussi — avec dextérité et subtilité, non dénuées d’humour — que notre langue est un patrimoine commun et vivant qui ne cesse de s’enrichir, voire de se réinventer. Parce que je le Valois bien. Orphelin de père, François d’Angoulême est fait duc de Valois par son oncle et tuteur le roi Louis XII, auquel il succède en 1515 sous le patronyme de François Ier. Chasseur émérite, il métamorphose l’ancien pavillon de chasse de Villers-Cotterêts — à l’orée de la giboyeuse forêt de Retz — fréquenté par ses prédécesseurs en un véritable château Renaissance qui devient la résidence royale du Valois. Démarrés en 1532, ses travaux sont achevés en 1556, sous le règne de son fils Henri II, par Philibert Delorme. En 1661, Louis XIV transmet le duché à son frère Philippe d’Orléans, qui adjoint au château un jardin à la française conçu par André Le Nôtre. Le Roi Soleil y séjourne à plusieurs reprises, il y fait même rejouer en 1664 Tartuffe par la troupe de Molière, pièce alors interdite à Versailles par l’archevêque de Paris ! Une partie de ses décors Renaissance disparaissent lors des différents remaniements menés par ses propriétaires princiers jusqu’à la Révolution. Devenu bien national, il accueille une caserne avant de devenir un dépôt de mendicité (1808) puis une maison de retraite du département de la Seine (1889) qui fermera en… 2014. En 2017, l’État lance un appel à idées pour l’avenir du site, reclassé définitivement Monument historique en 1957. L’année suivante, le Président de la République arbitre en faveur de la création d’une Cité internationale de la langue française dont il confie le projet au Centre des monuments nationaux. L’ordonnance signée à Villers-Cotterêts en 1539 et la volonté affirmée de ­François Ier pour que la France se forge sa propre identité artistique justifient certes le choix de cette implantation. Mais la commune et ses environs sont aussi le berceau de célèbres auteurs de notre littérature : Alexandre Dumas y naquit en 1802, Jean de la Fontaine vit le jour en 1621 à Château-Thierry et Jean Racine en 1639 à la Ferté-Milon, tandis que la maison natale de Paul et Camille Claudel se trouve à Villeneuve-sur-Fère, enfin Jean-Jacques Rousseau s’éteignit en 1778 à Ermenonville. Demandez le programme ! Bien plus qu’un musée 1, c’est une Cité dédiée à la langue française qu’accueillent les 23 000 m2 du domaine. Autour de la cour du Jeu de paume, le Logis royal (5 000 m2) abrite à rez-de-chaussée des espaces d’accueil (150 m2) et d’exposition temporaire (400 m2), un pôle restauration (170 m2), un auditorium modulable de 250 places dans l’ancien Jeu de paume (1 570 m2), une boutique-librairie et des services (administration, ateliers pédagogiques et salles de rencontre). Les quinze salles du parcours permanent se développent sur
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    Talents

    Yassine Ben Abdallah, la possibilité d’un design créole

    Par Anne-Marie Fèvre, le 10 juillet 2024
    Son attachement à l’île de La Réunion l’entraine à interroger la culture créole, la mémoire des objets disparus, avec une pièce manifeste : une machette en sucre primée à la Design Hyères Parade de juin 2023. Quel plus beau lieu que la Manufacture de Sèvres à Paris pour rencontrer Yassine Ben Abdallah ? Ce palais de la porcelaine resplendit de la lumière dorée d’automne, qui éclairent ses gigantesques fours, ses céramiques géantes. Là, ce jeune homme imagine des vases qui seront hybridés à des vannes, ces grands plateaux en osier de La Réunion qui servent à agiter les grains. Il projette un bel outil usuel, mais dans un choc des cultures entre kaolin royal et vannerie créole. S’il est là, c’est grâce au Grand Prix de la Design Parade qu’il a obtenu à la Villa Noailles en juin 2023, récompense qui lui permet de créer une œuvre à Sèvres. Mais d’où vient la quête de métissage de ce jeune Français ? Il est né à Saint-Denis (Île-de-France) en 1994 mais Yassine Ben Abdallah a passé toute son enfance à la Réunion, jusqu’à son baccalauréat. C’est ainsi qu’il s’est attaché à un autre Saint-Denis, celui de l’Île Intense, département et région française d’outre-mer (DROM). En plus, ses parents sont tunisiens, originaires de Djerba ; le jeune garçon est d’autant plus ouvert au monde, à l’insularité, à la rencontre des cultures, à la géopolitique. C’est pourquoi il va étudier à Sciences Po Paris, une formation qu’il complètera par un cursus au Strate College. Un choc pour lui : à son approche critique, va s’ajouter la découverte du design, du concret. Qui va le mener à étudier le « géo-design » à l’Académie d’Eindhoven (Pays-Bas) pendant deux ans. Il oriente alors ses recherches vers la mémoire des objets. La pièce emblématique qu’il a imaginée – Machette en sucre, mémoire de la plantation (« Bittersweet memory of the plantation ») – et qui a été primée est si incertaine. Esthétique grâce au sucre qui rappelle le verre, au jaune transparent. « La monoculture de la canne à sucre domine l’île, explique Yassine, elle est marquée par 300 ans de colonisation et 200 d’esclavage. Toute une population venue de Madagascar, des Comores, puis de Chine, d’Inde a coupé la canne dans des conditions tragiques. Or, il n’y a plus aujourd’hui de traces de ce travail, et de la culture de ces ouvriers esclaves. Il y a bien le musée de la Plantation de La Réunion (ex-plantation Villèle), mais seuls les objets du maître sont exposés. Il n’y a plus de chaînes d’esclaves, par exemple ! Restent quelques ruines d’usines, de vieilles maisons coloniales. Comment faire mémoire ? La machette permet de se reconnecter à cette histoire. Oui, elle est chargée de violence, cet outil est aussi une arme ; elle est ambiguë, en sucre, impermanente comme la culture des esclaves, elle tache, elle colle… » Cette machette sera exposée au musée de la Plantation. « Ma place de designer est là, s’enflammeYassine. Créer des objets sur leurs absences, remplir le vide. » Un autre projet, Île-et-la-mer, enrichit sa démarche. Car un dicton courant à La Réunion affirme que « Les créoles tournent le dos à l’océan ».
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    Architecture un lieu

    46/48 avenue de la Grande Armée Une réhabilitation d’exception

    Par Nat Lecuppre, le 10 novembre 2023
    L’architecte Franklin Azzi a réalisé une réha­bi­litation singulière d’un immeuble de bureau, au 46-48, avenue de la Grande Armée à Paris. L’architecte a eu pour mission de revaloriser le site et de l’adapter aux normes et aux attentes actuelles des utilisateurs tant en termes d’effectifs que de confort d’usage. Franklin Azzi a su avec son talent reconnu rendre attractif cet ensemble de 9 200 m2 en conjuguant les styles Art déco et Industriel. Les objectifs étaient de rendre les lieux lisibles et de les ouvrir sur la ville mais aussi de les moderniser. Le site Pour Franklin Azzi, il s’agissait de donner du sens et de connecter les deux bâtiments au 46-48 avenue de la Grande Armée et rue de Brunel. Pour cela, le patio historique a été repensé et une agora créée pour relier les deux bâtiments. Elle devient le cœur du site. Les façades ont été conservées. Une véritable attention a été portée à l’apport de lumière naturelle et surtout à la valorisation des hauteurs libres. Les RDC et R+1 sont ouverts sur l’atrium central baigné de lumière et accessible par un escalier visible depuis le hall en double hauteur. Autour de cet atrium, les utilisateurs bénéficient de divers espaces qui renforcent leur bien-être : un lobby, un business center, une cafétéria et un espace d’échanges informels, entre autres. Le projet de Franklin Azzi comprend également la réalisation d’une surélévation en toiture au R+7. Une extension vitrée et sa toiture sont ainsi reliées aux R+7 et R+8 côté rue de Brunel. La surélévation vitrée a été conçue avec des châssis coulissants toute hauteur. Une casquette, de couleur zinc en clin d’œil aux combles des bâtiments avoisinants, surmonte celle-ci. La dimension contemporaine se trouve renforcée par le choix de la charpente, des menuiseries en acier, des ouvrants et des protections solaires. Un important travail de réflexion a été effectué sur la structure pour une meilleure organisation des espaces. Par exemple, une charpente invisible au R+6 a été créée pour permettre une surélévation au R+7. L’architecte a joué avec les styles dans une belle harmonie. L’Art déco se marie au style Industriel et fait la part belle aux matériaux nobles, performants et durables (bois, pierre de taille, feutre…). On reconnaît la griffe de Franklin Azzi et son côté perfectionniste. Aucun détail n’est laissé au hasard, tout est dessiné sur-mesure comme les sièges de l’auditorium. Afin de préserver l’ADN des lieux, des recherches d’archives patrimoniales ont été menées. Franklin Azzi a su mettre en valeur l’existant et anticiper les usages dès la conception. Chapeau bas pour cette réhabilitation d’exception.

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